Suite au nouvel arrêté de piétonisation des voies sur berges, l'UDELCIM demande maintenant sa "suspension" auprès du Ministre de l'intérieur et sa" révocation" par décision prise en Conseil des Ministres.
* Article L 2122-16 du Code Général des Collectivités Territoriales :
Le Maire et les Adjoints, après avoir été entendus ou invités à fournir des explications écrites sur les faits qui leurs sont reprochés, peuvent être suspendus par arrêté ministériel motivé, pour une durée qui n’excède pas un mois.
Ils ne peuvent être révoqués que par décret motivé pris en Conseil des Ministres.